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Affichage des articles du mars, 2019

La Paz, la capitale la plus haute du monde

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Capitale du pays, nous posons nos sacs à dos deux jours dans la ville de la Paz où l'on retrouve Florian, venu nous rejoindre pour trois semaines de périple !  La Paz est la capitale administrative du pays et est la troisième ville la plus peuplée du pays après Santa Cruz et El Alto. La ville, située à 3650 mètres d'altitude en moyenne, se situe dans un canyon créé par le fleuve Choqueyapu. Il est situé dans une dépression en forme de bol entourée par les hautes montagnes de l'altiplano. Vue depuis le point de vue killi killi Vous verrez donc sur les photos les différences de niveau de la ville. Le décor nous impressionnera à plusieurs reprises, grandiose et surprenant. La ville est très étendue, elle est équipée depuis 2014 de plusieurs téléphériques. Pour moins de 40cts par personne (3 bolivianos) on peut prendre le téléphérique et admirer la vue sur la ville.  On peut aussi prendre des trufi, van en commun à 2 bolivianos le trajet. Ce n'est pas cher ...

Détour vers les montagnes humides boliviennes

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On fait le trajet Sucre - Santa Cruz en bus de nuit, 13h30 pour faire 470 km. La route est extrêmement sinueuse et certaines parties ne sont plus bitumées… On ne dort pas très bien. Arrivés à Santa Cruz au petit matin, on vient de perdre plus de 2000 mètres d’altitude. Nous sommes à 400 m et le climat a radicalement changé. C’est humide ! Et il pleut beaucoup… Durant ces 10 jours en Bolivie, il aura plu 3 fois plus que les 5 premiers mois de voyage ! Cette ville est très grande, et la circulation très dense. Comme partout, dès que le climat est chaud et humide, on a plus l’impression de pauvreté. Les vendeurs de rue sont plus nombreux et vendent tout ce qui existe au monde. Les rues sont sales, les déchets semblent mal traités. Des sacs poubelle éventrés envahissent les routes et trottoirs et tapissent l’ensemble de détritus. On constate également en Bolivie la différence de la notion de politesse. Sans cesse, on nous passe devant lorsqu’on attend quelque part, on ne nous laisse p...